Une fillette a été enlevée et assassinée à 100 km de Tokyo, en 1989, an 64 du règne de l’empereur Shôwa. Nom de code de l’affaire : Six-quatre. L’inspecteur Mikami faisait partie de l’équipe chargée de la traque mais le ravisseur avait réussi à fuir avec la rançon. Impossible pour lui d’oublier cet échec cuisant, que la récente et mystérieuse disparition de sa propre fille ne fait que rappeler… Presque quatorze ans ont passé, dans le même commissariat, il dirige le service des relations presse. On lui demande d’organiser la couverture médiatique de la visite du grand chef de la Police nationale, destinée à montrer que les recherches continuent. Si les journalistes, en plein bras-de-fer avec les RP, veulent bien se prêter au jeu… Pour organiser la visite, Mikami se rend au domicile du père de la fillette. Ce dernier semble en vouloir à la police. Y aurait-il un loup caché ? Pourquoi les officiers ayant suivi le Six-quatre ont-ils changé de service ou démissionné ? Et que sont ces « Notes Kôda » que le chef du personnel semble à tout prix vouloir retrouver ? Soudain, tout s’accélère : un nouvel enlèvement a lieu… Yokoyama promène le lecteur à travers les doutes de Mikami, et brosse un tableau de la société japonaise, de la presse et des enjeux d’une information en temps réel.
« Plus encore qu’une enquête policière au cordeau, Six-quatre est un étrange voyage dans l’esprit nippon où chaque attitude est surveillée, codée, pesée. » – Lire.
« Une passionnante immersion dans les méandres de la société japonaise contemporaine. » – Le Figaro Magazine.
« C’est une écriture minutieuse, au plus près des sentiments humains qui se dévoilent lors d’une enquête qui va bousculer beaucoup de préjugés. » – Baz’art.
« Le lecteur en quête d’originalité ne devrait jamais oublier d’aller faire un tour du coté du polar japonais. » – Fondu au noir.
« Une fiction policière fascinante à bien des égards. » – Sang Froid.
Né en 1957, Hideo Yokoyama a travaillé pendant 12 ans comme journaliste d’investigation avant de devenir l’un des auteurs de fiction les plus prisés au Japon. Sa carrière commence en 1998 lorsque sa série de romans policiers Kage no Kisetsu remporte le Prix Matsumoto Seicho. En 2000, Han’ochi le place parmi les auteurs les plus vendus au Japon et reçoit le prix du meilleur roman policier de l’année.
Description:
Une fillette a été enlevée et assassinée à 100 km de Tokyo, en 1989, an 64 du règne de l’empereur Shôwa. Nom de code de l’affaire : Six-quatre. L’inspecteur Mikami faisait partie de l’équipe chargée de la traque mais le ravisseur avait réussi à fuir avec la rançon. Impossible pour lui d’oublier cet échec cuisant, que la récente et mystérieuse disparition de sa propre fille ne fait que rappeler…
Presque quatorze ans ont passé, dans le même commissariat, il dirige le service des relations presse. On lui demande d’organiser la couverture médiatique de la visite du grand chef de la Police nationale, destinée à montrer que les recherches continuent. Si les journalistes, en plein bras-de-fer avec les RP, veulent bien se prêter au jeu… Pour organiser la visite, Mikami se rend au domicile du père de la fillette. Ce dernier semble en vouloir à la police. Y aurait-il un loup caché ? Pourquoi les officiers ayant suivi le Six-quatre ont-ils changé de service ou démissionné ? Et que sont ces « Notes Kôda » que le chef du personnel semble à tout prix vouloir retrouver ? Soudain, tout s’accélère : un nouvel enlèvement a lieu…
Yokoyama promène le lecteur à travers les doutes de Mikami, et brosse un tableau de la société japonaise, de la presse et des enjeux d’une information en temps réel.
« Plus encore qu’une enquête policière au cordeau, Six-quatre est un étrange voyage dans l’esprit nippon où chaque attitude est surveillée, codée, pesée. » – Lire.
« Une passionnante immersion dans les méandres de la société japonaise contemporaine. » – Le Figaro Magazine.
« C’est une écriture minutieuse, au plus près des sentiments humains qui se dévoilent lors d’une enquête qui va bousculer beaucoup de préjugés. » – Baz’art.
« Le lecteur en quête d’originalité ne devrait jamais oublier d’aller faire un tour du coté du polar japonais. » – Fondu au noir.
« Une fiction policière fascinante à bien des égards. » – Sang Froid.
Né en 1957, Hideo Yokoyama a travaillé pendant 12 ans comme journaliste d’investigation avant de devenir l’un des auteurs de fiction les plus prisés au Japon. Sa carrière commence en 1998 lorsque sa série de romans policiers Kage no Kisetsu remporte le Prix Matsumoto Seicho. En 2000, Han’ochi le place parmi les auteurs les plus vendus au Japon et reçoit le prix du meilleur roman policier de l’année.